Alice au paradis

€20.00

Alice au paradis
Autrice : Caroline Wlomainck
Editions Lamiroy
Parution : 31 mars 2024
ISBN : 978-2-87595-900-3     
210 pages
Prix : 20 €


On a tôt fait de juger sans savoir, de critiquer sans connaître. En se persuadant que la première impression est la bonne. Confortablement installés sur notre îlot de certitudes. Mais sait-on réellement ce qui se trame derrière un sourire, derrière une larme ? On ne connaît pas les gens. On se les imagine. Et bien souvent, on se trompe.

Alice, c’est cette fille que vous avez peut-être croisée et qui a, comme chacun de nous, son histoire. L’histoire de toute une vie.

Caroline Wlomainck habite à Tournai.
Elle a rencontré un premier succès avec ses premières nouvelles Incisives en 2023 aux éditions Lamiroy.
En 2024, elle y publie son premier roman : Alice au paradis.
Difficile de croire que nous sommes face à une nouvelle écrivaine tant elle déploie avec grâce toute sa rage au travers de ses sombres récits. Une écriture cash, clash, réaliste, directe, perturbante et... incisive !

Disponible chez votre libraire dont Filigranes (Bruxelles), Tropismes (Bruxelles), Bleus d'encre (Uccle), Scientia (Mons), L'écrivain public (La Louvière), La Procure (Tournai), Chantelivre (Tournai), La page d'après (Ottignies-Louvain-la-Neuve), Autre chose (Hannut), Marque tapage (Herve), Le temps de lire (Libramont), A livre ouvert (Woluwe), Filigranes corner (Ixelles), Mot passant (Jette), UOPC (Auderghem), La petite librairie (Verviers), Librairie du Tienne (Tilly), Oxygene (Neufchâteau), Corman (Knokke), Claudine (Wavre), Pax (Liège), La traversée (Verviers), Dlivre (Dinant), Librairie de la Reine (Binche), Graffiti (Waterloo), Molière (Charleroi), librairie Wallonie-Bruxelles (Paris), La Mazerine (La Hulpe), toutes les librairies Club...  

Si votre librairie ne l'a pas en rayon, demandez-lui de vous le (re)commander à notre distributeur : distribution@maisondelapoesie.com

Rencontres & dédicaces :

  • Vendredi 15 mars 2024 : Librairie Filigranes à Bruxelles
  • Jeudi 21 mars 2024 : Librairie Bleus d'encre à Uccle
  • Jeudi 28 mars 2024 : Lancement au Tiffany's à Tournai
  • Jeudi 4, samedi 6 et dimanche 7 avril 2024 : Foire du livre de Bruxelles
  • Samedi 20 avril 2024 : Au 26 rue de France à Ath
  • Jeudi 16 mai : en live dans LaBoite sur Twitch
  • Samedi 18 mai 2024 : Librairie Scientia à Mons
  • Mercredi 22 mai 2024  : Librairie Autre chose à Hannut
  • Dimanche 2 juin 2024 : Librairie Mot Passant à Jette
  • Samedi 14 septembre 2024 : Librairie Fanfulla à Tournai
  • Samedi 21 septembre au 26, 26 rue de France à Ath
  • Samedi 16 novembre 2024 : Festival du livre de Charleroi
  • Samedi 23 et dimanche 24 novembre 2024 : Salon du Livre de Wallonie
  • 13 au 16 mars 2025 : Foire du livre de Bruxelles

Dans les médias :


Après quelques publications et surtout les nouvelles remarquées d’Incisives, parues l’an dernier chez le même éditeur, Caroline Wlomainck passe au roman et à la vitesse supérieure. Alice au paradis possède un ton, une énergie, un sens du ridicule qui rappellent, sans l’imiter, Adeline Dieudonné à ses débuts. Oui, la barre est placée haut mais elle est franchie avec une souplesse et une aisance qui laissent rêveur. Alice et les autres personnages qui gravitent autour d’elle, parfois sans presque la voir, sont des particules libres entre lesquelles les chocs sont aussi imprévisibles que le sont leurs effets. Chez Cap Beauté, le centre d’esthétique où elle travaille, bien payée « au black », Alice impose ses quarante-quatre kilos en trop comme une injure aux clientes et une façon de prévenir : vous allez voir ce que vous allez voir ! On lit, on voit, on est convaincu.
Pierre Maury - Le Soir
★★★

Caroline Wlomainck nous avait épatés avec son recueil de nouvelles Incisives… Voici son premier roman : Alice au paradis ; un texte roman choral qui, lui aussi, explore la médiocrité humaine, les (petits) mensonges du quotidien, le mal-être camouflé derrières des apparences socialement acceptables… Alice est en surpoids, se sent mal dans son corps et dans sa vie, fait le grand écart entre un boulot (régulier) dans une boîte de crédits et un travail (au noir) dans un institut de beauté. Autour d’elle, des clientes, collègues, rencontres qui nous rappellent
les (petites) violences du quotidien. Sombre, cinglant, cynique, ce premier texte long est surtout « horriblement »… humain !
Michel Dufranne - Femmes d'aujourd'hui

On est dans une petite ville et toute une série de personnages vont apparaître et à chaque fois donner un trait de leur caractère. Et on va tôt faire d’avoir une impression, pour ne pas dire un jugement, sur ces personnes, par rapport à l’action qu'ils font ou par rapport à ce qui se passe. C'est assez noir, c'est assez dur. Et puis petit à petit on va voir tous ces personnages qui vont être connectés les uns aux autres et on va se dire qu'ils n'ont pas eu de chance. Et il y a autre chose derrière, autre chose qui s'est passé et on va changer d’avis à une vitesse VV prime. C’est émouvant, c’est beau, c’est dur, c’est un premier roman et il faut vraiment mettre ça dans toutes les mains parce que justement on juge trop vite alors qu'il faudrait s’abstenir de juger et simplement écouter, regarder, observer. Et Caroline Wlomainck, là-dedans, elle est juste topissime.
Claude Aronis - Librairie Bleus d'encre - Coup de coeur sur BX1

Caroline Wlomainck, un OVNI dans la littérature belge ! Son recueil de cinq nouvelles mordantes, décapantes, gênantes, provocantes, "INCISIVES"... a accompagné beaucoup d'entre vous cet été. Découvrez son premier roman à la fois tranchant et empathique, qui affirme Caroline dans un genre qui lui est propre.
Marc Filipson - Filigranes

L’écriture de Caroline Wlomainck est une fois de plus incisive, tranchante dans un roman où se côtoient ceux qui dès le départ ratent la première marche du bonheur ou de la chance ! Un roman noir qui nous montre des vies qui ne sont pas roses… Un roman qui nous montre aussi qu’il ne faut jamais juger sans savoir !
François de Brigode - RTBF

 

Une écriture attachante, touchante, incisive, assez choc, coup de poing, c’est ce qui fait le style de Caroline Wlomainck, c’est très réussi. On ne s’embête pas, on ne lâche pas ce bouquin, il faut absolument le lire. L’histoire se construit au fur et à mesure, les liens se tissent entre les personnages, un puzzle se construit. En fait c’est la société qui nous est livrée, bouleversante, blessante, avec ses frustrations et ses blessures : c’est la vie !

Bou Bounoider - Vivacité/ La Une - RTBF 

Un pur chef d'oeuvre. Une écriture totalement aboutie. Pas un instant de répit dans le déploiement de cette histoire à plusieurs personnages qui ont en commun leur blessure profonde et un ancrage fragile dans le tissu social. Rien ne peut les sauver, ni eux, ni la narratrice invisible de ce livre dense, émouvant, admirablement construit par cette auteure humble et modeste qui marie l'acuité de son regard sur le monde avec une rigueur intérieure et une inventivité langagière tout à fait éblouissante. Rien ne peut les sauver, ces personnages ? Rien ! Mais quelqu'un : Nous ! Moi, Vous : le lecteur de ce livre qui interpelle notre inconscience.
Henri Van Lierde - Réalisateur

Dernièrement, j’ai eu l’occasion de lire le dernier roman de Caroline Wlomainck « Alice au paradis ». J’adore l’authenticité de cette tournaisienne. On découvre, derrière chaque personnage, une histoire personnelle qui a tôt fait de mettre à mal nos propres certitudes. Juger sans comprendre est d’une lâcheté déconcertante. Comprendre et juger n’est pas à la portée du premier venu.
Paul-Olivier Delannois - Bourgmestre de Tournai

Dans ce premier roman, incisif à souhait, personne ne sort indemne… ni les personnages, ni les lecteurs. On s’y délecte de son écriture au vitriol, celle qu’on avait déjà tant aimée dans « Incisives », son recueil de nouvelles. Avec « Alice au Paradis », la citation « l’enfer, c’est les autres » se vérifie une nouvelle fois : les héros l’apprennent à leurs dépens. Un récit sans concession, qui plonge le lecteur dans l’univers impitoyable du quotidien, où règne implacablement le jugement de la société, un roman parfois trash, souvent sombre même… qui contraste totalement avec sa rayonnante autrice. « Quelqu’un m’a dit : on peut être solaire et préférer l’ombre… », argumente Caroline Wlomainck. « C’est un peu ça. Quand tout est rose et violette, cela ne m’intéresse pas. C’est pareil quand je vais au cinéma, j’ai besoin de rire, de souffrir, de vivre des émotions fortes, sinon cela m’ennuie. C’est exactement ces hauts et ces bas, que j’ai envie de traduire par mon écriture » (...)
Amoureuse de la littérature, Caroline a choisi chacun des mots de son roman avec précaution, réflexion, ciselant son texte et construisant des images indélébiles dans la tête des lecteurs. Sous sa plume, sans concession, Alice, Jean-Michel, Stéphanie et les autres personnages de son livre subissent les affres du quotidien, se montrent parfois lâches ou abjects. Et pourtant, toujours, l’humanité transparaît dans son plus simple et plus sublime appareil. On les déteste, et l’instant d’après, on a envie de les prendre dans les bras. C’est cela la patte de Caroline Wlomainck.
Sarah Courcelle - Sud Info

Pour son second livre, Caroline Wlomainck nous dévoile tour à tour les différents protagonistes d’une même affaire. Ainsi, avec Alice au paradis, on entre de plein pied dans les confidences d’une employée de salon de beauté et de son appréciation de ses bourgeoises de clientes ; plus tard, c’est une de ces clientes qui aura la parole. En fait, tous les personnages sont liés. Et, au gré des chapitres, chacun d’eux expose son vécu. Le roman forme finalement un tout, même si les chapitres ne portent pas de numéro, mais un titre comme dans un recueil de nouvelles (qui peuvent avoir leur existence propre …). Un ton enjoué, une écriture dynamique et une autrice qui nous rend complice de ses personnages !
Guy Stukens - Cocktail Nouvelle Vague / Radio Air Libre

D'une plume brute, mordante, percutante, l'auteure nous embarque dans un récit aussi sombre que sensible. Un texte qui nous parle de personnes comme vous et moi qui vont vivre des choses affreuses. Des personnes ordinaires a qui la vie n'a pas (toujours) souri. 
Dans des chapitres dédiés, elles vont nous conter leurs histoires. Les drames (ou plutôt les horreurs) qu'elles ont vécues. C'est choquant. C'est fort. C'est marquant. Cette histoire est un roman mais l'auteure lui a donné ce petit quelque chose de terriblement réaliste qui la rend d'autant plus dramatique et percutante. Elle parle sans tabou de maladie, de viol, de violence, d'harcèlement, de difficulté d'adaptation. Elle nous démontre l'importance de voir au-delà des apparences. Des personnages principaux qui, chacun à son niveau, est parvenu à me toucher. Même si tous ne sont pas tout blanc car ils ont eux aussi leur côté sombre, qui, de par les souffrances vécues, va les pousser à, eux aussi, mal agir. J'ai adoré que tous ont des liens. Cela nous permet de nous mettre autant à la place de celui qui subit que de celui qui commet. Tout en nous faisant comprendre les motivations. Ces dernières permettant de manière assez dingue de justifier certains actes. Il m'a fallu quelques pages pour m'adapter à cette plume qui au final m'a beaucoup plu. J'ai adoré. 
Le Monde de Marie



C’est un roman qu’on lit d’une traite, emporté par une plume quasi orale, qui donne à voir, ressentir et entendre. Le ton, à l’image des personnages, criants de vérité, est cash. Truffé d’humour, incisif, sans filtre, il sonne vrai. On s’immerge dans cette fresque humaine comme on entre dans la vie des gens, un peu par hasard, avec retenue ou au contraire, sans beaucoup de tact, persuadé d’avoir fait connaissance et de savoir qui est réellement l’autre. Mais il arrive, comme dans ce récit nerveux, racé, acerbe et réellement jubilatoire, que l’on se trompe évidemment sur les apparences, régi par une première impression qui s’arrête souvent aux contours de ceux que l’on scrute, juge ou critique sans les connaître. C’est le cas d’Alice ou encore de Jean-Michel, dont les vies sont loin d’être ce qu’elles montrent. Alors qu’un sourire, une larme, une addiction, une humeur ou un regard peuvent pourtant en cacher tellement d’autres… La Belge Caroline Wlomainck a l’art de la chute : les dernières lignes de son premier roman sont comme la personnalité d’Alice, qu’on aurait eu intérêt à prendre le temps de mieux connaître : géniales !
Aurélia Dejond - Marie Claire Magazine 


D’une plume brute et percutante, elle nous embarque dans un récit sombre et sensible, à la fois. Récit qui démonte le jeu des apparences car “on a tôt fait de juger sans savoir, de critiquer sans connaître”. Caroline Wlomainck développe une galerie de personnages qui croiseront de près ou de loin, l’héroïne principale, Alice : Alice, au physique ingrat et à la vie morne. Derrière les certitudes, les rôles que chacun se façonne, les critiques acerbes, les réflexions intracrâniennes sans concessions, se cache la réalité douloureuse de chaque personnage. Les personnages se rencontrent en se jaugeant et se jugeant, mais c’est le lecteur qui dénoue le fil de leurs vies. Avec une bonne dose d’humour noir, une vision acerbe des travers de la société moderne, l’auteure parle sans tabou et de manière frontale de sujets dérangeants tels que la maladie, la violence, le viol, et le harcèlement. Au cours de la lecture, des émotions contradictoires nous montent au tripes. Un premier roman à découvrir de toute urgence.
Valérie Geladé - Librairie Scientia

 

Un roman qui ébranle nos perceptions et nous invite à regarder au-delà des apparences. J’annonce une pépite, une lecture qui ne laisse pas indifférent, un coup de cœur !
Alice, une héroïne de notre époque, nous entraîne dans un voyage au cœur de ses turpitudes et des faux-semblants qui peuplent sa vie tumultueuse. Ce récit captivant, superbement écrit, met à mal les jugements souvent injustes que nous portons sur autrui.
C’est une histoire percutante qui utilise des mots puissants et incisifs pour plonger dans un univers où les bonnes intentions peuvent parfois paver l’enfer des autres. Le livre est une invitation à réfléchir et à ne pas rester indemne face aux défis de comprendre vraiment ceux qui nous entourent. Avec un style direct et un humour noir, Caroline Wlomainck nous offre un miroir des travers de notre société et des défis de l’humanité.
« Alice au Paradis » est un appel vibrant à croire en nos rêves et à remettre en question ce que l’on croit savoir sur les autres. Après « Incisives », ce premier roman continue sur la même lancée captivante. Une lecture essentielle pour tous ceux qui aiment être dérangés, touchés, et finalement transformés par un livre. Un incontournable pour les bibliothèques et les âmes en quête de profondeur.
Ce roman, tout comme les nouvelles de Caroline Wlomainck, devrait trouver sa place sur des tables de nuit, dans des bibliothèques et des piles déjà lues ou à lire, mais surtout dans la tête et dans le cœur des lecteurs. Le talent de cette nouvelle auteure est à découvrir absolument. 
Avec une écriture authentique et très cash, incisive, et un trait d’humour noir, les personnages nous ressemblent, un voisin, une collègue, dont on croit tout savoir et pourtant... « Alice au Paradis » est un livre qu’on a du mal à lâcher une fois commencé, que dis-je… que vous dévorerez à coup sûr !
Thibault - Le Belge qui lit

Dans son premier roman intitulé Alice au paradis, paru lui aussi, après le succès de ses nouvelles d’Incisives, chez Lamiroy à Bruxelles, la Tournaisienne Caroline Wlomainck (°1977) donne une succession de courts chapitres mêlant, dans un langage parfois très cru où flottent çà et là des mots rares, les points de vue sur une humanité contemporaine en pleine déliquescence minée par la violence, sociale ou pas, éclairés à travers le prisme du personnage protéiforme d’Alice, une sorte de laissée pour compte aux yeux du monde (y compris ceux de l’entreprise) et de son propre regard.
Riches, pauvres, alcoolos, cadres supérieurs, snobinettes, collègues, fils à leur maman, bourreaux d’enfants, marchandes de sandwiches, conjoints violents, femmes de ménage, enfants violeurs… et même la mort par le biais d’une thanatopractrice, tout le monde en prend pour son grade et finit simple troufion.
Un deuxième livre-choc sur le zoo humain, à l’instar du précédent opus de l’autrice
Bernard Delcord - Lire est un plaisir

"Moi, ce qui m'importe, c'est gagner ma vie pour payer la bouffe. C'est ma seule raison de vivre. Rien de plus. Pour le reste, je me contente de peu. Mon coiffeur ? La voisine du dessous. Elle est pas douée mais c'est gratuit. Mes vêtements ? Quechua..." Alice est dans la tourmente, son cerveau : en mode carrousel et culpabilisation accompagnés des J'aurais dû, J'aurais pas dû, Si j'avais su... Pour quelle raison ? Que s'est-il passé ?
Alice, Stéphanie, Lucie et Jean-Michel tout comme bien d'autres personnes que l'on connaît ou que l'on croise, tout simplement, on se les imagine, on les juge, on les critique, persuadé au premier coup d'oeil que nous sommes dans le bon... Quelle erreur, Caroline Wlomainck, autrice de l'humain diplômée en communication, nous le démontrant sans détour et au scalpel avec les personnages de ce roman. Son premier. Dès les premières lignes, le ton est donné et qui a lu "Incisives", son recueil de nouvelles, ne s'étonnera point, le phrasé et le style de l'autrice reconnaissables entre mille et si significatifs d'un caractère bien trempé... que l'on ne trompe pas.
La plupart du temps, on ne peut lire sur les visages les épreuves que traversent tant bien que mal nos interlocuteurs et interlocutrices, et c'est le choc, la douche froide, lorsque l'on finit par savoir. Quel traumatisme se cache derrière ce timide sourire ? Quels sentiments dissimule cette attitude si taiseuse de l'ami ou de l'amie que l'on vient de rencontrer ? Dans "Alice au Paradis" (éditions Lamiroy), nous suivons notamment Alice, Lucie, Jean-Michel et Stéphanie dans leurs parcours de vie respectifs semés d'embûches, parfois même d'impasses. Les causes ? Au lecteur de les découvrir par lui-même bien sûr en lui conseillant d'avoir le coeur bien accroché !
Il n'y a pas de hasard, que des rencontres, nous affirme Paul Eluard... Serions-nous alors tous prédestinés ? L'étoile de notre naissance pouvait-elle n'être que bonne ou mauvaise ? La mémoire du vécu, enfoui ou pas en nous, peut soudain ressurgir et causer pas mal de dégâts... "...des flashes imprécis et flous commencent à apparaître, à parasiter ma conscience. D'abord des bribes. Puis des séquences plus précises qui semblent ne pas m'appartenir. Comme les réminiscences des mauvais rêves..." Alice s'en sortira-t-elle ? Une fois marqué, peut-on cicatriser, voire guérir complètement ? Inch'Allah, lâcherions-nous dans les difficultés mais, en attendant, 208 pages se présentent à nous, celles de "Alice au Paradis" (sur terre ?) de Caroline Wlomainck, déjà un joli succès de librairie...
Thierry-Marie Delaunois

Excellent roman ! Une écriture puissante, rapide, directe. On reçoit ce texte comme des uppercuts qui nous sonnent ! On ressort de ces 200 pages, essoré, blackboulé, bousculé, plein d'images, avec toujours cet humour noir et désespéré qui est la marque de fabrique Wlomainck. Bravo !
Richard Ruben

Caroline Wlomainck - photo libre de droit
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Philippe Manche pour son podcast littéraire ASPHALT JUNGLE rend visite à domicile à Kain (Tournai) chez l'auteure Caroline Wlomainck pour une rencontre vive, spontanée et touchante autour de "Alice au paradis", premier roman épatant, acide et aussi très drôle qui vient de sortir aux Editions Lamiroy.

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