Apéropuscule #34

Titre : Razzia

Auteur : Michaël Luca

Prix : 5 €

Lancement le 30 septembre 2023

Précision : le délai d'envoi peut être plus long que pour un livre classique car nous imprimons en fonction des demandes. L'impression ne sera lancée qu'après une douzaine de commandes.

Un apéropuscule présente un futur roman : les 5000 premiers mots

L'auteur

Michaël Luca est né à Bruxelles en 1988. Diplômé d’un master en psychologie clinique, il exerce en périphérie bruxelloise depuis plus de dix ans. Chroniqueur pour le Guide Social depuis de nombreuses années sous le pseudonyme de T. Persons, il est également auteur de nouvelles et de séries littéraires. Michaël Luca est père de trois enfants, il aime la bande dessinée franco-belge, la gastronomie italienne et le cinéma américain indépendant. En dehors de parler de lui à la troisième personne lorsqu’il écrit un semblant de biographie qui le concerne, Michaël se qualifierait d’angoissé, curieux, solitaire, mais pas vraiment névrosé. Juste un peu anxieux, c’est tout.

Le roman

En quelques mots, Razzia, c’est l’histoire d’une rencontre improbable entre une nonne coupée du monde et un intellectuel raté qui, par un concours de circonstances particulières, vont être amenés à s’associer afin de planifier le braquage d’une banque sur l’île de Ré.
Je crois qu’on peut considérer Razzia comme une satire. Celle d’une certaine vision de la société, de la religion, de l’intellectualisme. Il faut appréhender ce projet comme une éloge, celle de la bêtise. C’est une ode à la connerie, celle qui est commune, qui est humaine et qui nous traverse universellement toutes et tous. On fait rarement l’apologie de l’idiotie, de la frivolité ou de la sottise. Or, Razzia propose, en filigrane, d’en faire les louanges : il est appréciable de temps à autre d’être un peu niais car, d’une certaine manière, c’est ce qui nous rapproche en qualité d’humain. Parfois, on est toutes et tous un peu con.